Les faux-départ ont fait du dégât à l'arrivée du 87ème Prix d'Amérique

"Quatre faux-départs, ça fait beaucoup, même si cela fait partie du folklore du Prix d'Amérique" déplorait l'ensemble des professionnels après le 87ème Prix d'Amérique, estimant que cette succession de montées d'adrénaline a été à l'origine de quelques contre performances. Pierre Vercruysse a estimé que MEAULNES DU CORTA s'est tendu au fil des départs manqués jusqu'à devenir difficile à contrôler. Défraîchi, il a fait la faute à l'entrée de la ligne droite. Même scénario pour NOUBA DU SAPTEL qui est devenue incontrôlable, perdant son influx sans combattre. Même Jean-Baptiste Bossuet (photo) pourtant troisième avec ORLA FUN, estimait avoir pâti des faux-départs. "Elle aurait pu prétendre à mieux, je la connais et j'ai vu qu'elle est partie fâchée, limite incontrôlable" concluait le grand professionnel mayennais.