Samedi à Vichy: L'AMIRAL MAUZUN crée la surprise en résistant à FARIFANT dans la finale du Grand Chelem

Le match NICE LOVE-FARIFANT a bien eu lieu samedi soir à Vichy dans la finale du Grand Chelem. Mais comme souvent dans ce cas de figure, le duel spectaculaire et sans merci a été arbitré par un troisième larron en l'occurence L'AMIRAL MAUZUN que personne avant la course imaginait voir battre les deux grands favoris. A l'origine de l'exploit, le culot de Jean Boillereau, l'une des plus fines cravaches du cru, qui s'est fait oublier durant tout le parcours et qui , dans la ligne droite, s'est glissé telle une anguille dans la corde pour venir surprendre les deux rivaux et en particulier FARIFANT qui pensait avoir fait son devoir en prenant le pas sur NICE LOVE à cinquante mètres du but. Quand Jean-Pierre Dubois a vu L'AMIRAL MAUZUN lui filer sous le nez, il a demandé un nouvel effort à FARIFANT qui est reparti vaillamment à l'attaque mais le poteau est arrivé trop tôt pour lui permettre de renverser une situation qui aurait été certainement inversée dix mètres plus loin. Battu du minimum, FARIFANT qui était venu chercher une surprime de 250.000 euros s'il avait triomphé samedi soir dans la finale après avoir remporté les deux premières manches est reparti avec une prime de consolation de 20.000 euros. Il n'est pas certain que cela ai suffi à calmer la déception de Jean-Pierre Dubois qui a reconnu, parlant de Jean Boillereau: "Il est surtout malin celui-là"