Le cas JAG DE BELLOUET: les turfistes ont le droit de savoir

L'entourage de JAG DE BELLOUET se retranchant dans un mutisme complètement hermétique, samedi à Vincennes Christophe Callier avait fait part de son refus absolu de communiquer avant comme après la coures, ce sont les commissaires qui vont devoir demander des explications au professsionnel car les turfistes ne sauraient subir des inversions de forme aussi extrêmes de la part d'un crack aussi admiré. Il est évident que les problèmes articulaires dont souffre JAG DE BELLOUET sont devenus chroniques et que les vétérinaires les prennent en charge et les effacent provisoirement lorsque viennent les grands objectifs, comme cet hiver pour le Cornulier, les Prix d'Amérique et de France. Mais qu'en est-il des courses préparatoires où le champion, comme samedi dernier au trot monté dans le Prix Théophile Lallouet, se présente hors soins c'est à dire complètement diminué, ombre de lui-même, entrenant la "mâchine" en attendant de bénéficier de médications parfaitement autorisées, comme les infiltrations qui assurent pendant un bon mois, une souplesse parfaite. Si le 22 avril prochain à Enghien, lors du Prix de l'Atlantique, son prochain objectif non déclaré mais probable, JAG DE BELLOUET retrouve toute sa forme et son phénoménal jeu de jambes, il faudra bien que les autorités officielles s'en mêle. Et prétendre alors que JAG DE BELLOUET ne veut plus trotter au monté sera une explication trop facile.

Le cas JAG DE BELLOUET: les turfistes ont le droit de savoir

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