Interrogé au micro d'Equidia, on sentait un Jean-Paul Gallorini très en colère. Une colère intérieure l'empêchant de dire nettement ce qu'il pensait du rôle du starter et des officiels qui ont laissé l'édition 2010 du Grand Steeple-chase de Paris se dérouler dans des conditions rocambolesques.Publié le Dimanche 30 mai 2010 par Canalturf
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